[RP-Ouvert] Aux bons pains d'Amabilia

Boulangerie " Aux bons pains "

Rien ne présager de l'avenir d'Amabilia lorsque'elle quitta la ferme familiale à l'aube de sa 19 éme année mais pousser par une soif d'apprendre c'est pleine d'assurance qu'elle parti sur les routes en quête de savoir et c'est par un beau matin du mois de février qu'elle entra en la ville d'Eu.

Très vite elle se mit à la tache, elle trouva de quoi travailler afin de pourvoir à ses premiers besoins et très vite elle accumula assez d'argent pour sans attendre plus longtemps prendre des cours sur la fabrication de pains.

Une fois son diplôme en poche et grâce à un dur labeur mélangeant ses cours et travail dans les champs elle pu rapidement ouvrir son propre commerce.

Tout allait bien pour elle à part coté coeur où là c'était le vide total mais elle s'en moquait éperdument et comme elle se le disait souvent: " Tu es encore jeune ma belle alors tu as tout ton temps pour y penser "

Alors que tout allait pour le mieux voilà que par un beau matin du mois de Juin une annonce Royale venait tout chambouler, car en effet, une épidémie venant des Amériques ravager déjà le nord de la France et il fallait sans plus attendre tout quitter pour partir loin mais pour aller où?? là était toute la question.

C'est avec tristesse, qu'Amabilia prit quelques effets, de quoi se nourrir pendant le voyage qui allait duré on ne sait combien de temps et les quelques menue piécettes qu'elle avait dans son petit coffret le reste étant à la banque soit en passant une petite fortune, enfin pour elle et surtout l'impossibilité de les récupérer.

Durant le voyage qui n'en finissait pas, elle se mit à penser à ses parents espérant qu'ils avaient pu eux aussi quitter la ferme mais une triste nouvelle vint assombrir ses espoirs quand elle reçu un pli arrivé à elle on ne sait trop comment, lui mentionnant que ses parents n'avaient pu échapper à cette terrible maladie venue de contrées lointaine.

Elle était désormer seule car étant fille unique, la voilà à présent orpheline.

Après des jours et des jours de marche, le voyage se terminer enfin et c'est en la ville de Bourges que tout aller recommencer.

Après avoir à nouveau et comme à son habitude vite trouver ses marques, elle se mit à travailler pour qui voulait bien l'embaucher et comme à ses débuts elle accumulât rapidement de quoi vivre mais surtout ouvrir à nouveau un commerce dans sa nouvelle ville.

Elle parla à beaucoup d'habitants de la ville de son projet et à sa grande surprise ils en étaient tous ravi et c'est donc sans mal qu'elle trouva de la main d'oeuvre afin de l'aider pour mettre tout cela en place et d'ailleurs tout allait si bien qu'une personne fort aimable et surtout généreuse lui proposa de lui céder une petite masure qu'elle pourrait transformer à son grès pour en faire son commerce.

Ni une ni deux la voilà parti suivi de ses aides à sans attendre ils se mirent tous au travail.

Ayant œuvrer sans relâche du lever du soleil à son couché, c'est seulement en quelques jours qu'enfin elle pu ouvrir les portes de son commerce à tous avec quelques bonnes idées en tête mais ça elle ferait comme à son habitude, se servir du bouche à oreilles pour propager se qu'elle avait en tête.

Et maintenant, son commerce étant ouvert il était temps d'en avertir la population et d'y revenir afin d'attendre la clientèle qu'elle espérait au fond d'elle nombreuse.

Palfy a écrit:

Traînant la petite Claire par la main, Palfy marchait à l'aventure dans les rues de Bourges. Il aimait monter et descendre ces ruelles pavées et étroites où le soleil ne pénétrait guère et où il faisait bon marcher. Claire n'appréciait guère ces promenades. Derrière lui, elle bougonnait et se plaignait d'avoir mal aux pieds. Palfy s'arrêta devant une boulangerie à la devanture verte et regarda la petite :
Tu as bien marché, Claire, tu mérites une récompense.
Il la prit dans ses bras et poussa la porte :
J'espère qu'il y a de bons gâteaux ici.
Il salua la dame derrière son comptoir et demanda :
Nous aurions aimé des pâtisseries madame, au moins deux chacun. Serait-il possible de les déguster sur place avec ... un bon jus de fruit.
D'accord, ce n'était pas un salon de thé, mais peut-être la dame verrait-elle dans sa proposition une idée à creuser.

Amabilia, afférait derrière son comptoir cherchant comme à son habitude des idées de desserts et de pains originaux, leva les yeux quand elle entendit la porte de son commerce s'ouvrir.

Il est vrai que depuis l'ouverture de sa petite échoppe, le monde ne se bousculait pas au portillon ey de ce fait elle afficha son plus beau sourire pour recevoir le premier client qui, espérait elle ne serait pas le dernier...


S'adressant au Sir:

Bien le bonjour Sir!!

Puis regardant la petite fille qui l'accompagnait:

Bonjour jolie Damoiselle !!

Elle lui sourit puis se tournant à nouveau vers le Sir:


Soyez les bienvenues dans mon humble échoppe !!Que désirez vous ? Quelque chose en particulier ? Demandez et si je puis vous satisfaire j'en serais ravie !

Elle attendit que le Sir s'exprime quand il lui fit pas de sa commande

Nous aurions aimé des pâtisseries madame, au moins deux chacun. Serait-il possible de les déguster sur place avec ... un bon jus de fruit.

A sa demande, Amabilia fut un peu surprise, enfin pas pour les pâtisseries mais la demande de jus de fruits ça c'était nouveau pour elle en plus cela lui donna une idée mais pour le moment il fallait satisfaire le client où plutôt les clients..

Et bien Sir, pour les pâtisseries il n'y à aucuns soucis vous pourrez les dégustées dans le petit jardin derrière, il est ombragées et l'endroit est frais vous y serait bien, pour le moment je vais vous montrez quelques unes de mes créations, j'ai réussi à négocier avec quelques marchands à l’entrepôt des importations et je suis satisfaite des bonnes affaires que j'ai pu y faire..

Souriant comme à son habitude, elle accompagna le sir et la petite fille dans le petit jardin où trôner juste une petite table avec 2 chaises suffisant pour l'instant à ses deux clients.



Voilà, c'est pas grand chose, il faut dire que je suis assez surprise par votre demande mais je vous remercie Sir car vous venez de faire naître dans ma petite cervelle une idée à mettre en place mais pour le moment installez vous je reviens vers vous juste après avoir préparer votre commande..

Elle lui sourit puis , les laissant s'installer elle alla dans son arrière boutique préparer un petit plateau de mignardises

Au bout de quelques minutes, Amabilia revint vers ses clients avec quelques petites mignardises de sa création..

Voilà sir, j'espère que cela satisfera vos papilles ainsi que celles de la jolie Damoiselle ...

Elle sourit tout en déposant délicatement les petit gâteaux sur la table



Je vais vous préparer les jus de fruits, bien que je sois limiter en cela je pense avoir ce qu'il vous faut et ce sera bien frais je puis vous l'assurer.

Amabilia repartit sans attendre dans son arrière boutique et se mit à préparer le dict jus de fruit, puis ceci fait elle revint au petit jardin afin de servir sa clientèle..



Voilà Sir, j'espère que cela vous conviens, je vous laisse déguster tout ceci, si vous avez besoin d'autre chose n'hésitez point à me quémander, je serais dans la boutique en cas de besoin.

Les laissant à leurs dégustations, Amabilia sourit à nouveau puis reparti tranquillement derrière son comptoir afin de recevoir d'autres clients éventuels

Palfy a écrit:

La dame se plia en quatre pour eux et les guida dans un petit jardin bien ombragé. Palfy aida Claire à s'asseoir, la petite était ravie de faire une pause devant un choix de pâtisseries à se rendre malade. La Dame leur apporta tout ce qu'ils avaient commandé et même bien au delà. Son magasin semblait calme pouratnt il était dans une rue commerçante. L'appellation de " Sir " amusait Palfy qui souriait à chaque fois qu'elle l'appelait ainsi. Observant le jardin, il dit :
On n'imagine quand on se promène dans la rue que'il peut y avoir de jolis jardins derrière les grandes façades des maisons.
Elle le remercia d'avoir allumé en elle une idée nouvelle pour son commerce :
C'est surtout pour la petite que je vous ai demandé de quoi boire. La pauvre, voilà un bon moment qu'elle me suit en tirant la langue.
Il rit et passa une main dans les cheveux de Claire :
Mais devant vos gâteaux, je crois qu'elle a oublié toute fatigue.
Finalement, ils choisirent deux pâtisseries chacun, elles avaient l'air si délicieuses et attendaient d'être dévorées avec impatience. Le jus de fruit maison était très frais, claire se régalait et en oubliait de parler, le moment était agréable bien au frais dans ce petit jardin. Palfy offrit une chaise à la dame :
Si vous avez un moment. ... On est bien chez vous et on y mange bien. Je me nomme Palfy Ricaud et voici Claire.  Avec sa mère, nous venons de Paris que, comme vous devez le savoir, nous avons quitté en catastrophe. On cherche à s'installer à Bourges mais devant l'affluence des réfugiés, il n'est pas facile de trouver un toit. ... Et vous Madame, vous êtes Berrichonne ?  
Elle n'avait pas l'accent des gens d'ici et sa mine soignée laissait à penser qu'elle ne venait pas de la campagne profonde. Palfy ajouta un sourire à sa question, il ne voulait pas être indiscret mais juste faire un brin de conversation.